« Le potager, situé entre le rocher et le jardin de l’abbé de Saint-André, était
arrosé par l’eau d’une noria dont le mécanisme réclame un soin permanent. Il faut régulièrement remplacer sa roue, réparer la lanterne de bois, renouveler ses godets d’osier enduits de poix, et
installer à ses côtés des cuves, ou piles, de pierre. C’est peut-être ce puits qui a laissé son nom pendant plusieurs siècles à la rue de la POUZARAQUE, dite aujourd’hui rue de la
foire. »
- SOURNIA, Bernard, VAYSSETTES, Jean-Louis, Villeneuve-lès-Avignon. Histoire artistique et monumentale d'une
villégiature pontificale. Paris, éditions du Patrimoine (Monum), 2006.